Les métiers de l’agroalimentaire résistent et ont un bel avenir
« En cette période de crise sanitaire, les métiers de l’agroalimentaire résistent bien. La filière a de l’avenir ! »
« En France, le secteur de l’agroalimentaire est non seulement un acteur clé sur le plan économique, mais il s’agit aussi d’un acteur majeur en matière de recrutement. Maillon essentiel de la chaîne alimentaire, le secteur emploie plusieurs centaines de milliers de salariés au sein de structures très différentes : de la TPE artisanale à la multinationale. Alors que la crise sanitaire du début de l’année 2020 continue à mettre à mal bon nombre d’employeurs, l’agroalimentaire fait partie de ces rares secteurs qui ont su résister à la pandémie. La plupart des entreprises ont pu poursuivre leur activité et ainsi pu maintenir l’emploi. Nombre de ces entreprises ont d’ailleurs dut recruter pour faire face à une demande paradoxalement croissante sur certains produits. »
Une tendance lourde amène les acteurs de cet écosystème à tenter d’apporter des réponses à une problématique centrale : comment nourrir la planète à l’horizon 2050 ?
Le secteur de la construction enregistrait durant cette même période une perte d’activité de 75 %. La perte totale d’activité était évaluée à -32 % à l’échelle nationale. La Banque de France plaçait alors les industries alimentaires parmi « le secteur le moins sévèrement touché ».
Un état de fait qui permet à l’ensemble de nos apprenants, toutes formations confondues, de continuer à s’insérer avec facilité dans la vie professionnelle à l’issue de leurs études. Notre taux d’insertion à 6 mois en 2019 s’élevait encore en 2019 à 92 %.
L’agroalimentaire : un secteur clé en France.
Les chiffres clés propre au secteur :- plus de 420 000 salariés
- 10 000 entreprises
- 176 milliards d’euros de chiffre d’affaires
- un secteur très innovant : près de 500 « food tech » en France à ce jour
- l’agroalimentaire : 1er employeur industriel en France
L’agroalimentaire : un secteur en mouvement et au cœur des enjeux de société
Avec près de 500 start-up, la Food Tech fait preuve désormais d’un beau dynamisme en France. Il s’agit là d’un écosystème extrêmement mouvant : des entreprises se créent tous les jours alors que d'autres disparaissent !Une tendance lourde amène les acteurs de cet écosystème à tenter d’apporter des réponses à une problématique centrale : comment nourrir la planète à l’horizon 2050 ?
L’agroalimentaire : un secteur en grande partie épargné par la crise sanitaire
Le domaine de l’agroalimentaire est traditionnellement assez peu sensible aux évolutions du contexte économique général : nous avons et nous aurons toujours besoin, quoiqu’il arrive, de nous nourrir ! » En 2020, le secteur a été dynamisé par des achats de prudence et de précaution. Dans une note de conjoncture publiée le 8 avril 2020, la Banque de France estimait que la perte d’activité dans ce secteur lors du premier confinement était de l’ordre de 6 %.Le secteur de la construction enregistrait durant cette même période une perte d’activité de 75 %. La perte totale d’activité était évaluée à -32 % à l’échelle nationale. La Banque de France plaçait alors les industries alimentaires parmi « le secteur le moins sévèrement touché ».
Des perspectives de recrutement toujours positives, mêmes si elles restent complexes.
Il est probable que le secteur de l’agroalimentaire continue à se heurter, dans un avenir proche à des difficultés de recrutement. Dans ce secteur, les problèmes de recrutement présentent en effet un caractère structurel :- inadaptation des compétences par rapport au profil recherché
- insuffisance du niveau d’expérience
- manque de candidats sur certains territoiresmauvaise image du métier ou de la filière (notamment dans le secteur de la viande)
- conditions de travail insatisfaisantes (horaire, pénibilité).
Un état de fait qui permet à l’ensemble de nos apprenants, toutes formations confondues, de continuer à s’insérer avec facilité dans la vie professionnelle à l’issue de leurs études. Notre taux d’insertion à 6 mois en 2019 s’élevait encore en 2019 à 92 %.